Nous sommes tous des victimes de la mine.
Le contenu du blog a évolué, se consacrant majoritairement depuis quelques années à ce pays qui me fascine tant, le Japon. Mais le principe reste le même : chaque jour, ou presque, une phrase extraite du dernier livre que j'ai lu ; essentiellement de la littérature "étrangère" (non anglo-saxonne), surtout japonaise. La boutique aux miracles est un roman de Jorge Amado que j'apprécie énormément. RDV également sur le forum de Bulles de Japon, et sur Babelio. オリヴィエ depuis le Grand Nord !
lundi 29 avril 2019
dimanche 21 avril 2019
samedi 20 avril 2019
L'infante du rock
Vous devez savoir, tout de même, que Mona Granados est décédée d'une overdose, au début de 1992, à Paris...
dimanche 14 avril 2019
L'été de mes treize ans
Le sable encore chaud gardait l'empreinte des pas de Rié et de Poko.
ps : traduit par Nicole Coulom.
Roman paru au Japon en 1974.
Amère volupté
Je compris alors que la satisfaction que j'approuvais à être dominée par Spoon était en réalité celle que me procurait sa possession.
ps : traduit par Jacques Lévy.
Première des deux courtes nouvelles traduites par les éditions Picquier (La chrysalide brisée est la seconde).
Ce sont les premiers textes publiés par Yamada Eimi il y a plus de trente ans.
J'aimerais bien savoir ce qu'elle écrit aujourd'hui...
mais sans les choix des éditeurs...
lundi 8 avril 2019
Menace sur nos libertés
La surveillance organisée par l’État est sans doute une question essentielle qui menace la structure même des démocraties et leur fonctionnement, mais il existe aussi une surveillance privée et la possibilité d'une collecte massive de données par le secteur privée.
ps : traduit par Abel Gerschenfeld et Anatole Muchnik
dimanche 7 avril 2019
Jeux de famille
A mi-chemin de la côte, je me sentis submergée par un sentiment de libération en même temps que par la conscience d'avoir été pardonnée, et je regardai le visage de Yukito.
ps : traduit par Anna Guérineau et Tadahiro Oku.
Citation extraite de la nouvelle, "Pousses de soja".
La mort de Tusitala
Laissant les larmes ruisseler sur sa face cuivrée pleine de rides, un vieux chef - aussi inconsolable que peut l'être un homme du Sud, parce que ivre des joies de la vie, à l'égard de la mort - murmura tout bas :
- Tofa ("dors"), Tusitala !
Tusitala, "le raconteur d'histoires" était le nom donné par les Samoans à Robert Louis Stevenson qui vécut sur l'île, située dans le sud du Pacifique, de 1890 jusqu'à sa mort quatre ans plus tard.
ps : traduit par Véronique Perrin (qui signe également une postface très intéressante).
Rien de japonais ici (quoi que... si l'on prête à Nakajima Atsuhi de traiter de l’expansionnisme nippon des années 30 et 40) mais un livre sur R.L.S., Robert Louis Stevenson avec une alternance de récit et de journal intime : la vie quotidienne, l'écriture, la santé, mais aussi le colonialisme et l'histoire de Samoa sont abordés.
Inscription à :
Articles (Atom)