Matthieu Berthod, dessinateur, et Jean-Patrick Di Silvestro, photojournaliste, sont arrivés dans la province du Tohoku trois ans après le séisme, afin de témoigner, par l'image, des stigmates de la catastrophe.
Le contenu du blog a évolué, se consacrant majoritairement depuis quelques années à ce pays qui me fascine tant, le Japon. Mais le principe reste le même : chaque jour, ou presque, une phrase extraite du dernier livre que j'ai lu ; essentiellement de la littérature "étrangère" (non anglo-saxonne), surtout japonaise. La boutique aux miracles est un roman de Jorge Amado que j'apprécie énormément. RDV également sur le forum de Bulles de Japon, et sur Babelio. オリヴィエ depuis le Grand Nord !
Matthieu Berthod, dessinateur, et Jean-Patrick Di Silvestro, photojournaliste, sont arrivés dans la province du Tohoku trois ans après le séisme, afin de témoigner, par l'image, des stigmates de la catastrophe.
Le dédale de couloirs s'achève sur une nouvelle porte, immense et noire. Sarah remarque son aspect lugubre :
- On n'a pas rendez-vous là-dedans, j'espère ?
Un mot qui, normalement, attend Yuna dans sa cellule est appelé à un moment inopiné mais il ne s'y trouve plus.
ps : traduit de l'allemand par Bernard Banoun.
Presque partout - et même souvent pour des raisons techniques - l'opération de prendre parti, de prendre position pour ou contre, s'est substituée à l'opération de penser.
Kôsuke Kindaichi s'était immobilisé et regardait maintenant dans la direction que le commissaire venait de lui indiquer.
ps : traduit par Rose-Marie Makino-Fayolle
L'art brut a permis de regarder des productions plastiques qui n'étaient pas évaluées comme oeuvres d'art dans le cadre de la pensée de l'art dominante qui leur était contemporaine.
La révélation qu'il existait un continent oublié, celui de créateurs immergés dans le décor de notre vie quotidienne, fut une surprise et un émerveillement.
PS : c'est la lecture du livre d'Annie Lebrun qui m'a mis sur la piste de Bruno Montpied. Beau livre (nombreuses photos), et propos intéressants.
Cet homme,Chûichi Shimoyama, le fils du Marukame-ya, lui aussi porte un chagrin.
ps : traduit par Patrick Honnoré
Le problème, avec la police, n'est pas qu'elle est constituée de porcs fascistes, mais que notre pays est dirigé par des porcs majoritaires.
ps : traduit par Thomas Chaumont
Aussi me semble-t-il permis de dire que, si tant d'artistes modernes n'acceptent pas le monde "tel qu'il est", c'est moins pour le détruire que pour le refaire.