Ce qui lui serrait le coeur, c'était l'affreux sentiment d'avoir ainsi utilisé l'argent du pauvre Kenji qui avait été assassiné par sa femme et découpé en morceaux par Masako et par elle-même.
ps : prenant jusqu'au bout ! et un personnage - Masako - comme je n'en avais pas rencontré depuis longtemps !
ps 2 : traduit par Ryôji Nakamura et René de Ceccatty