lundi 4 avril 2016

Les détectives sauvages


De la notice nécrologique de Pepe Avellaneda que le journal de Nogales avait publiée en son temps, il ne me reste que l'image de Cesarea Tinajero qui chemine sur une route triste du désert la main la main de son petit torero, un petit torero qui, de plus, se bat pour ne pas continuer à rapetisser, et qui en effet, peu à peu grandit, jusqu'à atteindre un mètre soixante, mettons par exemple, et qui ensuite disparaît.




ps : il y a fort longtemps lorsque je lisais Chronicart, on y disait le plus grand bien de cet écrivain d'origine chilienne, mais je n'avais pas encore eu l'occasion de le lire.
C'est chose faite, et c'est une Claque !
Ce roman est une traversée (du temps, du Mexique) et il fallait bien plus de neuf cent pages pour cela, un récit impressionnant, polyphonique, où tout ces personnages essayent - tout simplement si l'on peut dire - de vivre...

ps : traduit par Robert Amutio

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