Cet homme encore adressait des lettres à certaine personne, et elle lui répondait, mais comme le temps passait sans qu'il la pût rencontrer, l'homme :
à me consumer
n'y aurait-il donc que moi
et toutes les nuits
feu d'amour doit-il couver
à l'instar du mont Fuji
ps : traduit du japonais et présenté par René Sieffert.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire