Cependant, même lorsque le syndicalisme adopte des principes de lutte des classes, il ne se propose à aucun moment, dans le combat quotidien le renversement de la société : il se borne au contraire à rassembler les ouvriers en vue de la défense de leurs intérêts économiques, dans le sein de la société capitaliste.
Il y a deux textes portant ce titre Les syndicats contre la révolution, fruit de la collaboration de Péret et de G. Munis. Le premier signé seul Péret aurait pu être signé des deux hommes. Après la mort de Péret, Munis a réalisé sous une autre forme leur projet d'une révision du texte.
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