Tant que l'excédent de travailleurs n'aura pas été détruit d'une façon quelconque, par le feu ou autrement, la prospérité ne reviendra pas.
ps : une très belle découverte que ce roman parût en 1935.
Le contenu du blog a évolué, se consacrant majoritairement depuis quelques années à ce pays qui me fascine tant, le Japon. Mais le principe reste le même : chaque jour, ou presque, une phrase extraite du dernier livre que j'ai lu ; essentiellement de la littérature "étrangère" (non anglo-saxonne), surtout japonaise. La boutique aux miracles est un roman de Jorge Amado que j'apprécie énormément. RDV aussi sur Babelio. オリヴィエ depuis le Grand Nord ! Vous êtes les bienvenu-e-s.
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