Retour sur les sorties, cet automne, de livres (fiction et non-fiction ; hors secteur manga et jeunesse - désolé -) en lien avec le Japon.
Sous réserve de ce qui m'a échappé...
Bonne lecture !
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- J’ouvre volontairement la liste avec une femme – Kazuki Sakuraba
(née en 1971) - dressant le portrait de trois générations de femmes
japonaises depuis la seconde guerre mondiale. Le propos sera-t-il
féministe ? Je l’espère...
La légende des Akabuchiba, aux éditions Piranha (que je ne connaissais pas) ; traduction de Jean-Louis de la Couronne.
- Littérature, dite prolétarienne, avec Takiji Kobayashi (1903-1933) qui décrit la vie des paysans exploités en Hokkaido.
Le propriétaire absent, aux éditions Amsterdam ; traduction de Mathieu Capel. Si vous n’avez pas encore lu du même auteur, Le bateau-usine (éd. Allia), faites-le svp, puis… ou avant ...
- Un polar, co-écrit, par le chef étoilé, Thierry Marx et Odile Bouhier. Entre Paris et Tokyo, cuisine, molécule, etc...
On ne meurt pas la bouche pleine, aux éditions Sang Neuf (Plon).
- Tchikan, un récit traitant du
harcèlement des femmes dans les transports en commun, et tout
particulièrement des très jeunes filles. Les « tchikan », ce sont ces
prédateurs, les auteurs de ces agressions.
Tchikan, Emmanuel Arnaud & Kumi Sasaki, aux éditions Thierry Marchaisse.
- Manga (série en cours). Isabella Bird (1834-1904), anglaise, voyageuse, notamment au Japon à la fin des années 1870.
Isabella Bird, femme exploratrice, Taiga Sassa, aux éditions Ki-oon.
- Yazuza again. Après Tokyo vice (éd. Marchialy), Jake Adelstein poursuit le portrait de la mafia japonaise.
Le dernier des yakuzas, aux éditions Marchialy ; traduction (de l’anglais) de Cyril Gay.
- Polar. An 64 du règne de l’empereur Shôwa (1926-1989) soit 1988.
- Enfin, chez Picquier, évidemment.
Etre femme en Asie, Anne Garrigue.
L'Art de la consolation, Koike Ryûnosuke. traduction de Myriam Dartois-Ako.
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puisqu'il est question d'automne :
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