Mohar Singh finit par mourir et l'on célébra en grand pompe le kriya, à l'issue duquel les vieilles prostituées vinrent respectueusement saluer Sanichari et Bikhni : "Si vous avez encore besoin de nous, madame, envoyez-nous chercher, on viendra."
ps : traduit du bengali par Marielle Morin. Extrait de Rudali la première nouvelle du recueil.
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