A Paris, une poignée de jeunes surréalistes demeurés dans la ville occupée, tant peintres que poètes, publient de mai 41 à mai 44 sept numéros d'une revue courageuse mais confidentielle : La main à plume ; ce titre est inspiré par Arthur Rimbaud : "La main à plume vaut la main à charrue", ce qui peut paraître une provocation en une période où est prôné le retour à la terre.
ps : difficile même pour une citation d'éviter le name-dropping inévitable à ce type d'ouvrage.
Il me faudrait lire d'autres livres sur cette période pour nuancer peut-être, pour avoir de compléments ou d'éventuelles corrections.
Mais ce qui ressort de la lecture c'est le dégoût, pour des gens carriéristes, indifférents, enfermés dans leur classe.
Il me faudrait lire d'autres livres sur cette période pour nuancer peut-être, pour avoir de compléments ou d'éventuelles corrections.
Mais ce qui ressort de la lecture c'est le dégoût, pour des gens carriéristes, indifférents, enfermés dans leur classe.
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