Maintenant qu'elle n'avait pas été obligée d'empoisonner sa mère ni d'abattre son père dans le champ à coups de fer de pelle, mais qu'elle était si seule que même les poulets, n'étant plus nourris, s'étaient égaillés, elle aurait pu chanter sans étonner personne, ou jurer sans que des expressions peu dignes d'une dame n'offusquassent son père.
ps : traduit de l'anglais par Marc Chénetier
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