mardi 30 avril 2013

Le fléau et la pierre

Teresa sanglotait, effondrée sur la table au bout de laquelle Suzana la contemplait, assise sans un mot, les bras croisés sur sa poitrine plate, le nez plus effilé que jamais, coupant : un tesson de bouteille.



ps : traduit par Maryvonne Lapouge-Pettorelli, Claude Barousse

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