L'AK-47 né de la bataille de Stalingrad, des plans quinquennaux et de l'ouvrière coiffée d'un fichu sur un champ agricole était plus qu'un fusil efficace favorisant un certain rééquilibrage des rapports de force sur le terrain militaire, il était le symbole brandi par l'exploité contre le capitaliste, par l'opprimé contre le colonisateur, plus largement par le faible contre le fort, il était l'étendard planétaire de la justice immanente et de la libération.
Le contenu du blog a évolué, se consacrant majoritairement depuis quelques années à ce pays qui me fascine tant, le Japon. Mais le principe reste le même : chaque jour, ou presque, une phrase extraite du dernier livre que j'ai lu ; essentiellement de la littérature "étrangère" (non anglo-saxonne), surtout japonaise. La boutique aux miracles est un roman de Jorge Amado que j'apprécie énormément. RDV aussi sur Babelio. オリヴィエ depuis le Grand Nord ! Vous êtes les bienvenu-e-s.
vendredi 1 juin 2012
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