Je suis monté dans un train de la ligne Joban à la gare de Kashima et j'en suis descendu au terminus, la gare d'Ueno.
ps : traduit par Sophie Rèfle
Le contenu du blog a évolué, se consacrant majoritairement depuis quelques années à ce pays qui me fascine tant, le Japon. Mais le principe reste le même : chaque jour, ou presque, une phrase extraite du dernier livre que j'ai lu ; essentiellement de la littérature "étrangère" (non anglo-saxonne), surtout japonaise. La boutique aux miracles est un roman de Jorge Amado que j'apprécie énormément. RDV aussi sur Babelio. オリヴィエ depuis le Grand Nord ! Vous êtes les bienvenu-e-s.
Je suis monté dans un train de la ligne Joban à la gare de Kashima et j'en suis descendu au terminus, la gare d'Ueno.
ps : traduit par Sophie Rèfle
Cette dystopie entrepreneuriale a un ennemi : l'histoire scientifique, critique et publique, qui enseigne la distance, la réflexion, et qu'il faut en fin de compte étouffer ou contourner.
Elle a tapoté le banc pour m'inviter à m'asseoir.
La lecture requiert la solitude, le calme et le silence, le retrait nécessaire au discernement, attitude antisociale selon la Propagande des Burundun post-orwelliens, laquelle nous intime d'accepter l'écroulement avec la calme résignation de l'ironie et le sourire en coin, comme on souriait naguère aux colères de Pasolini accusant la démocratie italienne d'être "culturicide" autant que le fascisme.
Le champ de vision de Wakatsuki se rétrécit jusqu'à ce qu'il plonge dans les ténèbres.
ps : traduit par Diane Durocher
- Kornelius, la vague qui a emporté notre fils, elle est née de la turpitude d'hommes tels que ceux qui ont conçu Iceworm*.
"Les cons, ça ose tout ! C'est même à ça qu'on les reconnaît." (une citation de Michel Audiard ne fait pas de mal et résume pas mal de choses !)